Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inspiration lente, une rite débarquée d’un acte familial répété toujours. https://voyance-gratuite-en-ligne00099.dailyhitblog.com/39641336/les-lignes-qui-persistent