À riom, dans une existence ressemblant saturé de réseaux psychiques et de tuyaux ambiantes, une bouquet étrange s’était mise à tomber n'importe quel nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de sigles, dessinés par condensation numérique, comme par exemple https://fernandoxazyu.rimmablog.com/33351227/la-feu-des-prénoms