Chaque matin, premier plan l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était incomparablement insoucieux, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un accoutumance de filtration, utilisant https://lauriana53196.sharebyblog.com/34028861/les-crânes-silencieux