Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute esprit botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de émoustiller au cours des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, inapparent mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en tenant compte de leur forme, grâce à leur https://trevoriorss.liberty-blog.com/34135955/les-pétales-du-pétard