Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son règle, attendait que l’obsidienne parle à neuf. La joyau noire semblait absorber la lumière sélénien, vibrer sous la pression du vent, et dans certains cas, sans éclairer, elle résonnait de cette https://zanehigdz.blogspothub.com/33020023/l-ombre-du-assemblé-d-obsidienne