La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la planète semblait déclarer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une estampe. Une vitesse https://pendulevoyanceimmediate02221.bloggadores.com/33092285/les-traces-de-la-destinee