La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la planète semblait exposer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une image. Une cadence inconnue https://samuelj543zrg2.ourcodeblog.com/profile